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06 août 2014

Connaissez vos droits

Droit de préemption pour les copropriétaires

Je possède un appartement dans un immeuble haut standing que j’ai acquis il y a dix ans. Aujourd’hui, j’ai l’intention de le céder. Seulement, j’ai entendu parler d’un certain droit de préemption au profit des autres copropriétaires. Qu’en est-il ? Si c’est le cas, dans quelles conditions se fera la vente ? D’ailleurs, je ne me rappelle jamais avoir reçu un document dans lequel est mentionnée cette condition.
En effet, la loi 18/00 relative au statut de la copropriété des immeubles bâtis a prévu le droit de préférence au profit des autres copropriétaires. L’article 39 de cette loi permet justement aux copropriétaires, s’ils le souhaitent, de prévoir dans le règlement de la copropriété un droit de préférence qui concernera tous les actes emportant transfert de propriété à titre onéreux que l’un des copropriétaires s’apprête à entreprendre au profit des autres copropriétaires.
Néanmoins, pour que ce droit existe, il faut qu’il soit institué par une assemblée générale des copropriétaires à la majorité des trois quarts de voix des copropriétaires présents ou représentés, sachant qu’un copropriétaire ne peut représenter qu’un seul autre copropriétaire.

Par ailleurs, le règlement de la copropriété doit également prévoir les conditions et les modalités d’application de ce droit de préférence, ainsi que les délais dans lesquels ce droit peut être exercé. Je voudrais vous signaler, cher Monsieur, que ce droit de préférence ne s’applique pas aux actes de donation ou à la sadaka.

Aussi, il va sans vous rappeler que vous ne saurez prétendre que vous ne connaissiez pas les dispositions du règlement de la copropriété, puisque la loi, et toujours celle relative au statut de la copropriété, impose au vendeur au moment de la vente de l’appartement de remettre à l’acheteur une copie de ce règlement, entre autres.

Il ressort de l’article 8 de la loi 18/00 que le propriétaire initial ou les copropriétaires d’un commun accord sont tenus d’élaborer un règlement de copropriété dans le respect des dispositions de ladite loi et une copie doit en être remise à tout copropriétaire. En cas d’absence du règlement de copropriété, un règlement de copropriété type leur est applicable. Ce règlement est élaboré  par voie réglementaire. Le même article stipule que les copropriétaires peuvent prescrire des conditions spéciales ou des obligations déterminées dans le règlement de copropriété sous réserve des dispositions de l’alinéa 2 ci-dessus.

L’article 9 précise que le règlement de copropriété comporte obligatoirement les éléments suivants : 

- la destination des parties privatives et communes et les conditions de leur usage ; 
- la définition des règles relatives à l’administration des parties communes et le droit de jouissance y afférent ; 
- la définition des règles de gestion du syndicat et de la tenue de l’assemblée générale ainsi que les critères de désignation du syndic et de son adjoint et, le cas échéant, du conseil syndical. Toutefois, cette dernière disposition n’est pas obligatoire si le nombre des copropriétaires est inférieur à huit; 
- la répartition des quotes-parts d’indivision relatives aux parties communes à chaque fraction divise. 

De même que l’article 11, alinéa 2 de cette loi stipule : «Un exemplaire du règlement de copropriété et des pièces y annexées sont obligatoirement joints à l’acte d’achat du lot. Il est fait mention dans l’acte d’acquisition que l’acheteur a pris connaissance du règlement de copropriété et des pièces y jointes».
Mohamed Jamal Maatouk. La Vie éco
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2014-03-12

Votre Argent

Résidences secondaires : les loyers s’envolent...

Les prix peuvent passer du simple au double dans les villes touristiques. A Agadir, un appartement se loue à 700 DH la journée en été contre 400 DH sur le reste de l’année. La durée de vacance des biens, hors période estivale, s’étend à 3 mois au moins.
residence secondaire
Le marché de l’immobilier tourne au ralenti depuis quelques années déjà. Et si la situation du segment des résidences principales est qualifiée de difficile, celle des résidences secondaires ou touristiques n’est pas meilleure. Certains promoteurs et agents immobiliers contactés assurent que les biens mis en vente ne trouvent pas du tout preneur. Du coup, ils sont destinés, dans leur majorité, à la location. Les investisseurs y trouvent leur compte car la location touristique rapporte un rendement appréciable. Le glissement du Ramadan pendant l’été a certes écourté la haute saison, mais cette concentration des vacances sur une courte période a fait flamber les loyers. Les prix peuvent en effet doubler par rapport au reste de l’année, période durant laquelle ils stagnent et la durée de vacance des biens s’allonge. En tout cas, la demande reste forte durant l’été. Les professionnels rapportent que pendant cette période, tous les types de biens immobiliers sont prisés, et ce, quel que soit le standing.
A Agadir par exemple, les résidences secondaires mises en location affichent complet depuis juin jusqu’à septembre. Et les prix continuent de s’envoler au gré de la demande. Par exemple, un appartement au centre-ville de 2 chambres et salon est loué à partir de 700 DH la journée alors qu’en basse saison, son prix ne dépasse pas les 400 DH. Les biens immobiliers offrant un certain luxe, se situant notamment dans des résidences sécurisées avec piscine, jardin, parking et offrant certaines prestations comme le nettoyage, se louent à un prix supérieur, à partir de 1 200 DH la nuitée pour un appartement aux mêmes caractéristiques. A la marina d’Agadir, le loyer d’un appartement (toujours 2 chambres et salon), qui tourne autour de 1 600 DH au cours de l’année, peut augmenter de 50% pendant la haute saison et atteindre 2 500 DH. Même dans les quartiers éloignés de la ville, les prix des appartements ont plus que doublé cet été. A Dakhla ou à Essalam par exemple, alors qu’ils tournaient entre 200 et 300 DH par jour au cours de l’année, les prix démarrent à 500 DH et peuvent facilement dépasser les 600 DH.
Au Nord, et spécifiquement au niveau de Tamuda Bay (Martil, Cabo Negro, Kabila, Marina Smir...), les prix atteignent également des sommets pendant l’été. A Martil, le prix d’un appartement de 2 chambres et salon dans un quartier populaire de la ville pointe à 600 DH. Il peut facilement atteindre les 1 000 DH par jour si le standing est plus élevé. Les biens au sein de résidences disposant d’une piscine, d’un jardin… sont proposés à partir de 1 200 DH, sachant qu’ils peuvent dépasser 1 500 DH dans certains cas.
Les prix à Martil tendent à se rapprocher de ceux appliqués à Cabo ou à Marina. En effet, on peut y trouver un studio à partir de 1 000 DH la journée et un appartement de 2 chambres à 1 500 DH. Pour leur part, les villas sont proposées à la location à 2 000 DH au bas mot à Martil et s’élever à 3000, voire 4000 DH, pour les villas pied sur mer, à Kabila ou à Marina.
Les locataires sont à 70% des Marocains résidents, 20% des MRE et 10% des étrangers
Le même constat prévaut à Essaouira. Sauf qu’à côté des appartements, les riads et les maisons d’hôte captent l’essentiel de la demande. Le propriétaire d’une agence immobilière souligne que «les appartements disponibles à la location viennent en complément aux riads existants dans l’ancienne médina». Il estime à 300 le nombre de ces établissements avec une capacité de 4 000 lits, soit presque autant que la capacité des établissements classés. Ces riads sont loués entre 500 et 1 000 DH la nuitée, alors que le prix ne dépasse pas 300 DH au cours de l’année. Ce type de biens demeure le choix premier des touristes marocains et étrangers, mais il n’en demeure pas moins que les appartements sont demandés également (après indisponibilité des riads et hôtels). Cela dit, les propriétaires alignent les prix de leurs appartements sur ceux des autres établissements. Autrement dit, un bien qui dispose de 2chambres et salon peut trouver un locataire à un prix compris entre 600 et 800 DH la journée, au moment où il peut se louer à 300 DH pendant le reste de l’année.
Même dans des villes comme Oualidia, El Jadida, Sidi Rahal… la demande bat son plein pendant la saison estivale. A côté des hôtels, des résidences et des auberges y voient le jour aussi, avec des standings variés. Ces villes n’échappent pas à la règle de la hausse des prix durant la haute saison. Ainsi, une maison de 100 m2 est proposée à la location à partir de 700 DH en juin et atteint jusqu’à 1 000 DH en août, alors que pendant l’année, le loyer ne dépasse pas 400 DH. De même pour un logement de 2 chambres dans une résidence sécurisée avec piscine dont le loyer coûte 1200 DH contre même pas 500 DH en hiver. Les villas, elles, se louent à 1 800 DH par jour au moins, alors qu’elles peinent à trouver preneur durant le reste de l’année.
Toutefois, les promoteurs déplorent le manque d’intérêt des investisseurs pour cette région. Malgré le développement qu’elle a connu ces dernières années, elle souffre de l’absence d’infrastructures de haut niveau et d’équipements touristiques à même d’attirer davantage de touristes marocains et étrangers… Un agent immobilier considère que si les regards sont tournés vers cette région en vue de la développer, les prix devraient s’orienter à la hausse et la durée de vacance des biens immobiliers mis en location devrait se réduire également.
Cela dit, des villes comme Marrakech et Tanger continuent de pâtir des effets de la crise, en raison notamment d’un développement important de l’offre au cours des dernières années conjugué à un ralentissement de la demande. A Tanger par exemple, les biens proposés à 800 DH la journée il y a à peine 3 ans se louent à 500 DH actuellement. Idem à Marrakech où un appartement affiche 1 000 DH la journée contre 1300 DH en 2012. A l’instar des autres villes, les promoteurs et propriétaires misent sur la période estivale pour rentabiliser leurs investissements. Ainsi, le bien qui se loue à 1000 DH en hiver pointe à 1 200 DH, voire à 1500 DH entre juin et août. Aussi, à Tanger, un appartement de 85 m2 au centre-ville est proposé à 1200 DH, contre 700 DH le restant de l’année.
Les professionnels du secteur immobilier tablent sur une poursuite de la tendance actuelle sur les années à venir, à savoir un ralentissement au cours de l’année et une flambée pendant l’été. «D’une manière générale, la durée de vacance des biens proposés à la location s’allonge de plus en plus. Elle atteint jusqu’à 8 mois dans certaines villes. Ce qui pousse certains propriétaires à revoir leur prix à la baisse en dehors de l’été», explique un agent immobilier. Et d’ajouter : «Actuellement, les locataires sont à 70% des Marocains résidents, 20% des MRE et 10% des étrangers, alors qu’il y a quelques années, la part des étrangers se situait à près de 30%». La reprise du marché est conditionnée par le redressement de la situation économique nationale et internationale.

La location saisonnière soumise à des règles spécifiques

La location saisonnière est un marché qui évolue dans l’informel, les propriétaires opérant «au noir» pour échapper au fisc étant majoritaires. De plus, rares sont ceux qui recourent aux services des agents immobiliers organisés, l’activité reste en effet largement dominée par les intermédiaires traditionnels. Or, la location saisonnière est soumise à des règles spécifiques. En effet, pour pouvoir mettre son bien en location, le propriétaire devrait disposer d’une autorisation d’exploitation délivrée par la wilaya.
En plus, il doit remplir des fiches de police pour chaque locataire, qui renseignent sur son profil ainsi que celui des personnes l’accompagnant, sa durée d’occupation des lieux….et les déposer au commissariat. Il est en outre tenu de disposer d’un registre qui reprend l’ensemble des locataires avec les périodes correspondantes et le numéro de leur carte d’identité en vue de le présenter aux services de police en cas de contrôle. Ce «formalisme» dissuade plusieurs propriétaires d’opérer dans la légalité.

Le rendement locatif se rapproche de celui des résidences principales

Vu les niveaux de loyers atteints pendant l’été, l’on pourrait penser que les rendements locatifs des résidences touristiques sont nettement plus intéressants. Ce n’est pas vraiment le cas. En effet, le taux de rendement dans ce segment n’est pas très élevé. Il avoisine les 7% à Marrakech et Tanger et ne dépasse pas 6% dans les stations balnéaires du Nord du pays. A Essaouira et Agadir, le rendement se situe à un niveau inférieur, soit 5% au maximum. Sachant que les biens à titre d’habitation principale peuvent rapporter entre 5% et 6% pour les appartements et 4% pour les villas, les résidences secondaires rapportent à peine légèrement mieux. Ce niveau de rendement s’explique par la durée de vacance qui est importante (de 3 à 8 mois) et qui s’allonge avec la morosité qui touche le secteur depuis quelques années. Aussi, le niveau bas des loyers appliqués en dehors de la période estivale y est également pour beaucoup.
Ibtissam Benchanna. La Vie éco
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Immobilier de luxe

Haut standing au Maroc : Du plain-pied signé Casadiaa

4 modèles de villas avec des prix qui démarrent à près de 6 MDH. Le plain-pied est considéré comme un luxe. Le promoteur de Casadiaa a voulu en faire sa véritable signature pour le futur.
Casadiaa
Situé à 10 minutes de Casablanca, après la seconde sortie de la localité de Bouskoura, le projet Casadiaa se veut novateur dans le style de vie. Le promoteur a suivi son instinct et surtout une étude de marché sur le comportement d’achat des citadins pour réaliser des villas de plain-pied. Le choix est vite fait pour ceux ou celles qui veulent à la fois vivre en communauté mais sans voir son voisin ou sa voisine. C’est tout le secret de l’ouvrage signé par trois architectes : Hamid Bennani, Rachid et Khalid Bohsina. Après une commercialisation réussie de la première tranche, comportant une soixantaine de villas, la seconde tranche vient d’être lancée pour une livraison prévue en 2015.  Les pronostics de vente sont positifs. «Après 15 jours de commercialisation de cette seconde tranche, les résultats sont encore meilleurs que ce que nous avions obtenu lors du lancement de la première», atteste Omar Naciri, promoteur du projet. Tout compte fait, dans un contexte économique marqué par un tassement des ventes, tout est finalement relatif. Casadiaa semble avoir touché un nouveau style de vie par son offre déclinée en quatre modèles prometteurs de luxe et de confort en commun.
La villa Aube Primera est une construction qui a été spécialement conçue pour des personnes qui ont pour la première fois cédé à la tentation d’avoir une villa. Sur une superficie de 820 m2 et plus, les surfaces construites varient dans ce cas de 280 à 406 m2. Le jardin y est valorisé. Côté luminosité, les lignes architecturales ont été conçues avec finesse de telle sorte à avoir de larges baies vitrées qui laissent passer la lumière à l’intérieur de la maison.
La seconde, baptisée par le concepteur Aube, évolue en espace pour offrir cette fois-ci aux acquéreurs quatre chambres toutes donnant sur le jardin et la piscine.  Les surfaces construites disponibles à ce niveau sont comprises entre 320 et 440 m2.
La villa Aurore, troisième modèle signé Casadiaa, se veut séduisante par son style moderne et novateur. Elle se différencie largement par son espace de réception garantissant une convivialité. Déjà, les surfaces construites dépassent à ce niveau les 500 m2 sur une superficie totale dépassant les 1000 m2.
Enfin, la villa Halo, classée comme la villa d’excellence garantie calme et sérénité pour ses propriétaires. Grande dans sa contenance mais aussi valorisée par une piscine plus grande, ce modèle de villas atteint les 700 m2 construits sur un espace de 1 300 m2.
Côté prestations et équipements en commun, le promoteur a tenu à les diversifier de telle sorte à satisfaire petits et grands. C’est ainsi que parc de jeux et salle de sports garantissent des occupations de qualité aux habitants, et ce, dans un cadre sécurisé. En clair, le projet qui s’étale sur une vingtaine d’hectares rime avec une nouvelle façon de vivre pour des personnes ayant tout de même les moyens de s’offrir une habitation dont le prix démarre à près de 6 MDH.
Le choix est vite fait.
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Immobilier de luxe

Haut standing au Maroc : Riad Garden, le haut standing by Chaabi lil Iskane

A travers ce nouveau projet, le promoteur compte offrir une cité jardin dans la ville impériale. Le projet qui a démarré cette année devra être livré fin 2015.
Chaabi lil Iskane
Le promoteur a investi au sein des murailles ocres de Marrakech pour offrir à une clientèle nationale et internationale un pied à terre moderne et luxueux à des prix étudiés ! Le complexe Riad Garden de Chaabi lil Iskane intègre à la fois appartements et villas de telle sorte à attirer une large clientèle. Tel que le projet est conçu, les appartements sont construits dans des immeubles R+2 au maximum pour rester dans des hauteurs valorisant la nature et les espaces prévus autour ainsi que l’espace prévu pour les villas. D’une surface comprise de 50 à 200 m2, les appartements sont destinés à une clientèle large et diverse avec un prix de vente fixé à 15 000 DH le m2. L’accès à la propriété est de ce fait facilité. Côté villas, les superficies construites varient de 200 à 270 m2 sur des parcelles comprises entre 140 et 300 m2. Dans leur contenance, les chambres, la réception et les autres parties domestiques sont réparties entre la cave et les étages dans le sens de l’optimisation. Bref, le promoteur compte bien attirer sa clientèle avec un prix d’entrée estimé à 3,5 millions de DH. Un prix psychologique largement justifié par une conjoncture économique morose. Toujours est-il que le comportement des acquéreurs potentiels, fortement animés par un désir de propriété plus que de location facilite les ventes. A l’international, les pronostics de reprise devraient doper les ventes de l’immobilier haut standing, particulièrement dans la ville ocre, prisée depuis la nuit des temps.  
La stratégie commerciale retient cet argument de taille en misant sur la magie de l’Atlas et la chaleur des murailles de la ville de Marrakech. Il faut dire que la localisation du site a été bien pensée. Juste au pied de l’Atlas, au cœur du quartier de l’Agdal, le nouveau projet fera certainement des jaloux dans les parages. La consonance mythique y est pour beaucoup et les propriétaires soucieux d’une appartenance sociale honorable n’hésiteront pas à faire les démarches pour s’installer en résidence principale ou secondaire dans ce quartier. Conscient de cet aspect, le promoteur joue «la carte du prestige et valorise la nature verdoyante qui complète l’architecture moderne et épurée, ancrées dans l’authentique tradition de la cité ocre».
Tout compte fait, le projet qui s’étale sur 22 hectares se veut innovant. Une réinvention du Real Estate ? Le promoteur en a fait dans tous les cas le pari. «Les villas de luxe et les appartements de très haut standing se noient harmonieusement dans un cadre verdoyant idyllique. Piscines, jardins, cafés et restaurants, parc de jeux..., tout a été pensé pour offrir un cadre de vie unique en plein cœur de Marrakech», promettent les maîtres d’ouvrage. Les appartements ont été, par ailleurs, conçus pour offrir une belle vue sur l’Atlas ou sur la piscine. D’une architecture très contemporaine, le promoteur garantit des finitions de très haut de gamme valorisées par des terrasses avec baies vitrées.
Les travaux et la commercialisation du projet ont démarré en avril 2013 et la livraison est prévue pour la fin de l’année 2015.
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Immobilier de luxe

Haut standing au Maroc : Anfa Place, du résidentiel, du resort et bien plus

260 appartements de 70 à 280 m2 composent la partie résidentielle. Pour le complexe à vocation touristique, qui inclut aussi un hôtel de luxe, 104 appartements de haut standing sont prévus.
Haut standing au Maroc
Anfa Place ! Voilà une nouvelle marque qui a fait une entrée en scène remarquée cette année. Car, incontestablement, l’ouverture du centre commercial Anfa Shopping à Casablanca, en février dernier, aura été un des événements phares. Certes, aujourd’hui c’est plus le volet shopping qui fait le mieux connaître l’enseigne. Mais les promoteurs du projet l’ont conçu et voulu pour être bien plus qu’un simple centre commercial. Anfa Place c’est aussi et surtout du résidentiel et de l’hôtellerie sans oublier le professionnel.
Pour la partie résidentielle, pas moins de 260 appartements de haut standing sont au programme. D’une superficie de 70 à 280 m2, ces unités sont commercialisées sur plan à travers le mécanisme de la vente en état futur d’achèvement (VEFA).
Si le prix au mètre carré est fonction de l’emplacement de l’appartement, notamment son orientation, sa vue sur mer et autres atouts, il faut compter pas moins de 36 000 DH le mètre, sachant que ce niveau était en vigueur au moment du lancement des travaux. Mais depuis, et selon les affirmations du management d’Inveravante lui-même, les prix de vente ont dû subir une légère hausse sous l’effet de l’engouement de la clientèle.
A côté du résidentiel, un des points forts d’Anfa Place est sa composante Resort qui prévoit un montage mixte alliant un hôtel avec des résidences à vocation touristique. Et c’est cette composante du projet qui constitue l’un des points forts sur lesquels a misé le promoteur. Dans ce volet, Inveravante a programmé pas moins de 104 appartements de haut standing d’une à deux chambres, entièrement équipés et qui profiteront d’un service hôtelier. En fait, les acquéreurs en confieront obligatoirement la gestion à un professionnel du concept des appart-hôtels qui aura pour mission de les louer moyennant une mensualité reversée au propriétaire. Pour assurer cette mission, Inveravante a choisi le spécialiste portugais Prestana qui gère déjà quelque 43 complexes touristiques similaires à travers le monde.
Pour ce qui est de l’hôtel, enfin, il est connu depuis mai 2011, date de signature d’une convention dans ce sens, que c’est la prestigieuse chaîne Four Seasons qui assurera la gestion de l’établissement. L’hôtel, conçu par le célèbre architecte Norman Foster, comptera 183 chambres et suites et nécessitera un investissement de plus de 500 MDH. Le Four Seasons d’Anfa Place devrait vraisemblablement être opérationnel vers la fin de cette année.
A tout cela, bien entendu, il faut rajouter l’élément central du complexe, à savoir le centre commercial qui s’étale sur une superficie de 3,6 hectares et qui a mobilisé un investissement de près de 830 MDH. Son ouverture, en février 2013, avait constitué l’événement phare de la métropole…
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haut standing au Maroc : Alliances, des signatures architecturales multiculturelles

Capitalisant sur une expérience de vingt années, le groupe Alliances s’est lancé dans des projets d’une autre dimension de haut standing. Dans sa stratégie, certains sont même menés en partenariat avec d’autres promoteurs. La richesse des œuvres interpelle.
haut standing au Maroc
Dans sa diversité, le groupe Alliances a su se distinguer dans son offre. Tout particulièrement dans le haut standing, ses 7 projets en cours de réalisation le révèlent par leur démarcation et le choix des matériaux. 
A Rabat, en face de la forêt Hilton, le projet «Clos des Pins» offre une situation géographique exceptionnelle. Signé Arnaud Gilles, ce programme résidentiel situé à proximité du Lycée Descartes joue la démarcation par le choix des matériaux et le style architectural. 
Pensées autrement mais intégrant l’argument fort du choix géographique, les terrasses de Dar Salam, signées par l’architecte Mohamed Fikri Benabdellah offrent une vue imprenable sur le quartier Souissi. Mitoyen du Golf Royal, le projet est articulé autour de quatre îlots valorisant la nature à travers le jardin intérieur et la vue imprenable sur la forêt.
A Casablanca, le projet Les Allées Marines privilégie la proximité avec l’océan. Tout près de Sindibad et du Morocco Mall, la résidence s’étend sur deux hectares, intégrant en son sein un grand jardin qui rappelle l’importance de la composante environnementale dans la conception des projets du promoteur. 
Sous un autre concept, le projet Espaces des Arts, co-signé par Edouardo Gaggiano et Rachid Andaloussi, se veut innovant dans l’architecture proposée. Le projet qui se situe dans le futur Casa-Anfa se démarquera certainement. Le nouveau quartier se voulant moderne et rappelant résolument la place de l’art dans la vie quotidienne du citoyen marocain. C’est ainsi que les constructions résidentielles offriront des commerces mais aussi des lofts et ateliers, confirmant ainsi l’engagement du promoteur à promouvoir l’art.
Avec un autre style et en partenariat avec Akwa Immobilier, le projet Villas des Près, signé Enrique Hidalgo, permet aux futurs acquéreurs d’être propriétaires d’une villa à proximité de l’océan à partir de 3 millions de DH . S’étalant sur une superficie de 17 hectares, le projet porte sur 276 villas. 30% des unités seront disposées en bande et le reste formera le cœur du projet. Bâties en R+1 avec sous-sol et solarium accessible, les surfaces seront ainsi optimisées en hauteur. La commercialisation a démarré en février 2012 et les livraisons auront lieu d’ici 24 à 36 mois. 
Pas loin, le projet Sindibad situé au cœur de la ville, en bord de mer et bordé de verdure présente une offre articulée entre appartements, villas, duplex, penthouses et maisons individuelles. Dans ses antres, un vaste parc naturel, un club house et un beach club permettent d’assurer des prestations de loisirs aux futurs habitants, tous âges confondus.
A Agadir cette fois-ci, le projet Iken & Park, sis dans le quartier chic Founty jouit de sa proximité avec la mer. Conçu par l’architecte Patrick Collier, le projet porte sur deux résidences jumelles où les appartements bénéficient d’une luminosité étudiée à l’avance. Avec une vue sur l’océan, la commercialisation de ce projet, prévue dans les semaines à venir, sera fortement influencée par cet argument fort.
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2013-08-15

Immobilier de luxe

Haut standing au Maroc : Marina de Casa, 60% des constructions bientôt achevés

Le projet de la CGI avance à grands pas avec un niveau de commercialisation de l’ordre de 70%. Le chantier relatif au centre commercial a été lancé le mois d’avril dernier et ceux des hôtels programmés d’ici la fin de l’année.
Marina de Casa
C’est dans quelques mois que les 374 unités résidentielles et les premiers bureaux seront prêts pour être livrés. Le chantier de la marina de Casablanca a démarré en 2009 et s’étale sur 26 hectares. En clair, il aura fallu quatre ans pour construire 60% du projet. Même niveau retenu pour la construction des bureaux, soit 80 000 m2 sur un total de 130 000 m2 dont l’achèvement est attendu au plus tard à la fin de l’année 2013. «La construction du reste devrait démarrer l’année prochaine», avait précisé à l’époque, M’Hammed El Merini, DG d’Al Manar Development, filiale de la CGI.
Pour l’heure, les 70% des résidences achevées ont été vendues. Concernant l’offre proprement dite, les surfaces des appartements et duplex varient de 60 à 430 m2. Les résidences se situant en bas de l’immeuble disposent pour leur part d’un jardin privatif. Le prix au mètre carré varie de 25 000 à 30 000 DH.
Côté offre bureaux, deux types d’immeubles sont proposés. La première catégorie sise sur pas moins de 12 000 m2 a déjà été cédée à une entreprise mais dont l’identité  demeure confidentielle. Dans la foulée et compte tenu des difficultés à commercialiser des surfaces aussi grandes, la stratégie commerciale a été repensée. Et c’est dans cette optique que les bureaux situés en deuxième ligne du projet sont désormais commercialisés sous forme de plateaux à partir de 300 m2. Les prix de vente varient de 27 000 à 30 000 DH le m2 alors que la location coûte entre 190 et 220 DH le m2.
Le chantier du centre commercial de 45 000 m2 qui a déjà démarré depuis quelques mois intègre également 15 000 m2 de locaux commerciaux sis en bas des immeubles. Le prix de vente a été fixé à 50 000 DH le m2. Certains ont déjà été acquis par des enseignes d’ameublement, d’électroménager et d’épicerie fine, ainsi que par une banque. Un fitness spa et une crèche sont aussi prévus.
Le projet hôtelier porte, par ailleurs, sur un hôtel 4* business de 200 chambres, un 5* de 300 chambres, confié en gestion au gérant américain Mariott. Ce dernier inclura un palais des congrès offrant 5 000 sièges et une unité de luxe de 150 chambres. Et c’est l’indien Oberoi qui a été choisi pour gérer le dernier espace.
Pour l’hôtel 4*, plusieurs gestionnaires ont manifesté leur intérêt mais rien n’a encore été officiellement décidé.
Pour ce qui est de la marina, autre composante valorisant le projet, elle devra accueillir un aquarium. Le projet ambitieux vise à doter la marina d’un aquarium de quatrième génération. Le leader européen en la matière à Valence a déjà été contacté pour sceller un partenariat. Le Conseil de la ville devra également porter le projet vu son envergure stratégique, culturelle et scientifique.
Bref, le cahier des charges prévoit la fin de tous les travaux d’ici 2016. Doté d’une enveloppe budgétaire globale de 8 milliards de DH, Casablanca Marina devrait accueillir 710 000 occupants et visiteurs potentiels.
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2013-08-16